Varkas Ulfurson

NOM ☩ Ulfurson PRÉNOM ☩ Varkas AGE ☩ 31 ans RACE ☩ Humain  PROVINCE DE NAISSANCE ☩ Il est né à Antiva et a grandit avec ses parents sur une ferme. Depuis les dix dernières années,il parcoure les routes de férelden. RAISON DE LA PRÉSENCE EN ORLAIS ☩ Une rumeur lui est parvenue celons laquelle sa mère vivrait maintenant à Orlaïs. Il cherche donc à la retrouver et par le fait même, retrouver et se venger de la femme qui a détruit sa vie. MÉTIER/RÔLE ☩ Tout portait à croire que Varkas suivrait les traces de son père et travailler sur la ferme familiale, puisque son frère aîné avait choisit quant à lui une voix différente. En grandissant, il découvrit une passion pour le maniement de l’épée, qu’il apprit à manier avec l’un des amis de son défunt père. Lorsque son destin bascula, il devint alors mercenaire.  RANG SOCIAL ? ☩ Varkas était, tout comme ses parents, un simple paysan. Il se considère comme un membre du peuple, prêt à se battre pour le peuple, même s’il charge ses honoraires. Mais entre vous et moi, parfois il échange plutôt ses services contre un toit ou à manger lorsque les gens n’ont pas les moyens de le payer. MAITRISE ☩ Depuis son plus jeune âge, Varkas s’interesse à l’art du maniement d’épée. Il sait très bien se battre avec ses deux épées et sait aussi travailler la terre, puisqu’il a grandit sur une terre. ALLÉGEANCE ☩ Il n’en a aucune si ce n’est le peuple et l’or bien sur.  AFFINITÉS AVEC LES AUTRES RACES/FACTIONS ☩ Varkas n’a pas vraiment d’opinion au sujet du reste du peuple. Les elfes ne sont pas bon qu’à récurer les plancher et les nains ne sont pas tous de gros saoulons bourrus. Pour lui, chaque race est semblable. Elfe, nain, et humains ont tous leur bon et leur mauvais côté. Leur gens respectables et leur déchets de la société. Chaque créature qui vit peu choisir de faire le bien ou de faire le mal. On ne naît pas mauvais, on le devient. PRINCIPAUX TRAITS DE CARACTÈRE ☩ Habile, sarcastique, directe, charmeur, un brin narcissique,tête de mule.

Varkas est né par une nuit chaude. Ses parents travaillaient la terre sur une petite ferme, tout ce qui a de plus modeste, à Antiva. Son père était le forgeron du village, alors que sa mère travaillait aux champs. Parfois, l’après midi, il allait filer un coup de main à son père. Lorsque celui-ci décéda, le nouveau propriétaire avait l’habitude de le voir s’asseoir sur un banc et observer l’artisan travailler. À l’âge de 12 ans, le forgeron lui proposa un emploi, qu’il accepta aussitôt. Aux champs le matin, à la forge l’après midi et bientôt, il se mit à traîner à la milice du village pour s’entraîner avec les gardes dont le chef était le meilleur ami de son défunt père. Il grandit en force, son travail aux champs, à la forge et l’entraînement à l’épée lui développant un corps dont il n’était pas peu fier. Varkas avait, dans son village et dans ceux aux alentours, la réputation d’un tombeur narcissique et un peu trop imbu de lui-même. Plus il avançait en âge, plus cela empirait. Puis  un jour, il fit SA connaissance. Cette femme aux long cheveux de jais et à la robe d’un rouge flamboyant croisa sa route par le plus grand hasard. Elle avait faussé compagnie à son et s’était perdue à force de déambulée ici et là. Varkas venait de faire quelques courses pour la maison et était en chemin vers chez lui lorsqu’elle lui fonça droit dedans. Ce fut comme un coup de foudre. Le jeune homme de 18 ans était tombé amoureux. En cachette, ils se rencontrait quelques fois par semaine, lorsque son père était en visite dans son village. Leur petite amourette dura trois longues années, ou ses allées et venues diminuèrent. Ce qu’il ne savait pas, c’était qu’elle n’était pas la fille de marchand qu’elle prétendait être mais bien la fille d’un noble important d’Orlaïs en vacances et qu’elle était fiancé. Il le découvrit de façon brutale lorsque voulu lui faire une surprise un soir. Elle était bien au chaud dans son domicile avec son père, sirotant une bonne coupe de vin et charmant un autre fils de noble qui se pavanait devant elle. Elle portait une bague au doigt et c’est alors qu’il comprit. Furieux,Varkas alla boire un grand coup à l’auberge. Plus tard dans la soirée, un homme devint désagréable envers l’une des employées et Varkas décida de lui donner une leçon, trop bourré pour se rendre compte qu’il sagissait du meilleur ami de son père avant qu’il ne soit trop tard. Mort de honte, il retourna s’asseoir et boire à une table, alors qu’une idée commençait à germer dans sa tête. Il venait d’avoir vingt et un an et il ne pouvait se résoudre à revoir la seule femme qu’il ait aimé et qui lui a briser le cœur. Très tôt le lendemain, il prépara les effets qu’il voulait emmener avec lui, dit au revoir à sa mère et parti vers les marches libres.Il errait de village en village, offrant ses services aux champs, dans les tavernes, à la forge. Il s’entraînait ou travaillait. Certains villageois lui demandait parfois un service en échange de pitance ou d’un toit, parfois même quelques pièces. Il fit route jusqu’à Golefalois ou il fit ses preuves et entra dans la milice.Sa vie fût plutôt monotone à partir de ce moment la. Travail, entrainement, travail, entrainement… Dix années s’écoulèrent et Varkas redevint le tombeur narcissique de sa jeunesse. Un  jour, il eut vent d’une rumeur concernant celle qu’il avait aimé. Semblait-il que son mari ait banni d’Antiva la mère de l’un des nombreux amants passés de sa femme. Optimiste, l’homme chercha à savoir ou se trouvait maintenant cette femme dont personne ne semblait savoir le nom. Pour cela, il lui fallu quitter la milice de Golefalois et reprendre sa route. Celle-ci le mena jusqu’à Orlaïs, ou il vient à peine de mettre les pieds.