Dalmar, le lyrium coule dans mes bu*nes. Ok c'est toujours vulgaire.
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Sujet: Dalmar, le lyrium coule dans mes bu*nes. Ok c'est toujours vulgaire. Dim 26 Avr 2015 - 13:16
Dalmar Cailin
NOM ☩ Cailin PRÉNOM ☩ Dalmar AGE ☩ 25 ans RACE ☩ Humain PROVINCE DE NAISSANCE ☩ Orzammar RAISON DE LA PRÉSENCE EN ORLAIS ☩ Il est à Orzammar MÉTIER/RÔLE ☩ Forgeron dans la Légion des Morts (et combattant également) RANG SOCIAL ? ☩ Il était dans la Caste des forgerons, désormais, il est mort aux yeux de la société. MAITRISE ☩Il maîtrise le marteau de guerre à deux mains ALLÉGEANCE ☩ Allégeance à la Légion AFFINITÉS AVEC LES AUTRES RACES/FACTIONS ☩ Il connaît personne mais déteste tout le monde, sauf les nains, et ceux qui appartiennent à la Garde des Ombres. PRINCIPAUX TRAITS DE CARACTÈRE ☩ Festif, téméraire, un peu con, solidaire.
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Orzammar. 5:06 des Exaltés
La colonne de nains approchait des vastes portes d'Orzammar. Voilà quelques mois qu'ils avaient quitté la cité royale, un des derniers tristes vestiges de la gloire perdue des nains. Elle faisait naître fierté mais aussi mélancolie et amour passionné chez ses citoyens. Un corps expéditionnaire d'une centaine de têtes naines était parti en exploration en direction de Kal Hirol, situé en dessous du comté d'Amarathine. Le corps revenait avec plus des deux tiers de ses effectifs initiaux, presque les trois quarts; ceci relevait de l'exploit par ces temps sombres. La troupe avait parcouru de nombreux thaigs abandonnés et autres postes avancés; certains s'étaient révélés très intéressants au vu des archives et reliques abandonnées qu'ils avaient pu dénicher. Kal Hirol était annoncé comme d'autant plus prometteur. La troupe devait faire halte au thaig afin que les moins endurants ne se reposent avant de marcher sur leur objectif ultime. Tout aurait dû être calme, les hommes auraient pu picoler un peu, faire de longues siestes dans un endroit nettoyé des chattemites, des araignées et autres cochards puants. Mais c'était sans compter sur un mouvement d'une horde d'engeances. Les éclaireurs rapportèrent très vite que les accès au thaig étaient entre les mains des monstres. Le seigneur Elvor Dace fit preuve d'un admirable sang-froid et réalisme. Poursuivre l'objectif jusqu'à Kal Hirol, c'était s'isoler encore plus, et l'assurance de ne jamais revenir. Il fallait briser l'encerclement au plus vite et rentrer. Ayant besoin de tous les bras possibles pour combattre, Dalmar reçut l'ordre de se battre. Lorsque vint l'heure de guerroyer, le jeune forgeron ne se défila pas et, armé de son marteau imposant, il terrassa nombre de genlocks et hurlocks. Dace, qui luttait à ses côtés fut époustouflé par l'allant et l'impétuosité de Dalmar. A la fin du combat: des Bemott, des Gavorn, des Vollney le félicitèrent, quant au seigneur Dace, il lui promit une récompense à leur retour. La suite du voyage fut -bien que long-, plus paisible, malgré quelques escarmouches.
Une aura mystique s'élevait de la ville, le haut de la colonne pénétrait déjà dans la plus radieuse des cités naines, aux fondations solides et majestueuses que Dumat lui même n'avait pas réussi à ébranler malgré sa colère dévastatrice. Des exclamations joyeuses et fières s'élevaient de la foule, les plus expérimentés avaient l'habitude, pas Dalmar. Remontant l'arrière de la troupe, un compagnon du forgeron, Wojeck Bemott vint lui taper sur l'épaule. - Alors mon pote cette foule qui gueule, t'en dis quoi ? s'enquit le guerrier. On pouvait y percevoir une réelle sympathie pour Dalmar. - J'en dis que tes omelettes aux champignons des Tréfonds me lattent encore le rectum, mais ça va, répondit-il en grommelant. - J'aurais dû te laisser crever de faim en fait, pesta Wojeck en continuant la remontée de la colonne.
Peu à peu, au fil de la marche; la troupe se dispersa, certains partaient directement dépenser leur paye à la taverne, d'autres aux putes alors que les plus respectables se contentaient de rejoindre leur famille. Pour certains, les catins étant leur deuxième famille, on conciliait les deux. Si bien qu'à la fin, il ne restait plus que lui, le seigneur Dace et quelques-uns de ses lieutenants qui allaient sans doute rendre compte de leur périple à l'Assemblée. Si Dalmar les suivait, c'est pour la simple et bonne raison que les demeurés de sa famille étaient pas foutus de se rappeler qu'un de leur fils était parti en mission, par conséquent personne n'était venu le chercher. Néanmoins les chefs de l'expédition étaient légèrement agacés d'être collé au train par le jeune. -C'est qui le con qui regarde en l'air comme un abruti derrière nous ? murmura le seigneur Dace à l'intention de ser Vollney. -'Me semble que c'est le forgeron, lui répondit ce-dernier. -Celui qui nous a fait une crise d'urticaire ? -Lui même, seigneur. - Aaah, il doit être là pour sa récompense, déduisit Dace à haute voix. - Ou alors, il est juste con mon Seigneur, lui rétorqua Vollney. - Certes, mais dans le doute... Il se retourna vers Dalmar, sa main extirpant une missive, le convoquant à la Lice du lendemain, organisée en l'honneur du corps expéditionnaire. Celui qui a cette convocation a l'honneur d'y participer. - Bon ! Bâtar... euh Dalmar, pour te récompenser de tes services, je te donne cette convocation pour la Lice de demain, s'exclama le dashyr. - Ah. Mais je peux la revendre, demanda le forgeron. - Mais trou d'balle, tu sais combien de nains crèverait pour participer à une Lice ? s'emporta Dace. - Ah. Bah je savais pas. Mais je fais quoi maintenant ? - Mais ce que tu veux pignouf ! Repars chez ta mère, saute dans la lave.. -... j'ai déjà essayé, rétorqua Dalmar en montrant sa phalange amputée. - Casse toi, franchement, casse-toi, lâcha le seigneur Dace, exaspéré.
Dalmar revint sur ses pas et erra dans le cornal roturier, il s'arrêtait parfois devant des échoppes, mais sans grande passion. Puis, arriva l'heure où il dut pousser la porte du logis familial. C'était une maison sans prétention, sobre mais confortable et accueillante; enfin ça dépendait qui y habitait. La première personne qu'il croisa fut son père, sur le visage duquel il put deviner un étonnement vide. Son père était un brave quoique rustre et très limité. - Bah, t'es pas mort ? demanda le paternel, sur le ton de la réelle surprise. - Non père, je viens de rentrer à l'instant, personne n'est venu m'accueillir, souffla Dalmar, déjà agacé. - Bah non, pourquoi je serais venu ? Je te pensais crevé. maintint son père. Dépité de cet accueil déplorable, Dalmar regagna sa chambre avec son barda sans aller voir le reste de sa famille. - T'es sûr que t'es pas mort hein ?! poursuivit son père. Il ne l'écoutait déjà plus. Soigneusement il rangea ses affaires, déballa ses petits trésors et les exposa sur ses étagères. Le jeune homme resta ainsi toute la nuit dans sa chambre pendant que ses frères, sans soucier des cris que poussaient ses frères qui jouaient ensemble, sans se soucier de la fracture tu tibia d'un d'eux. Lorsqu'il se réveilla au petit matin, toute sa famille était déjà sortie. Il n'eut même pas l'occasion de les avertir qu'il participait à la grande Lice. Uniquement doté de la convocation, Dalmar traversa le cornal roturier, passa la garde sur le pont et gagna l'antre de la Lice. Le maître-licier fut surpris de recevoir une telle missive de la main d'un nain de la caste des forgerons. Toutefois le parchemin étant ratifié par un dashyr, rien ne lui permettait de s'y opposer. Un intendant lui indiqua ses quartiers et l'équipa d'une armure naine en maille et d'un maillet, à sa demande.
Après plus d'une heure d'attente, vint enfin son tour. Il fut intimidé de se retrouver au milieu d'une telle arène, où tant de noms prestigieux furent scandés par une foule transie depuis la nuit des temps. Cette foule, ce jour là était acquise à son adversaire, Nestor Ivo. Il n'avait pas fait partie de l'expédition, mais il était porté aux nues par la foule, pour la simple et bonne raison qu'on applaudit pas un forgeron. Les deux nains suivirent le protocole, se saluèrent avec respect, s'envoyèrent des fions... comme d'hab' quoi. Aussitôt Ivo, avec son bouclier de chêne et son épée longue se porta à l'attaque. Dalmar para un à un les coups du guerrier avec l'ample hampe de son marteau. Mais Ivo était vif et il lui entailla le mollet avec un coup adroit, Dalmar tomba. Mais le forgeron n'abdiqua pas et, profitant de sa position de faiblesse pour porter un ample coup de marteau demi-circulaire aux jambes de Nestor. Le coup n'était pas assez puissant pour le blesser juste pour le faire tomber. Revigoré par ce retournement de situation, Dalmar se releva vivement et abattit avec vigueur son maillet sur Ivo. Par chance, ce dernier était preste et il parvint à opposer son bouclier au coup de maillet. Le bouclier arrêta le coup certes, mais vola en éclat. Choqué par la puissance de l'attaque, Ivo n'aurait pas pu se protéger d'un autre coup, et avant d'en prendre plein la gueule, il cria qu'il abandonnait. Il n'eut pas le temps de souffler que son second adversaire s'avançait, Conrad Helmi, fils du puissant dashyr Varek Helmi. Il était connu pour semer la zizanie à l'Assemblée, organiser des dissidences de dashyr et affaiblir le pouvoir royal. Son fils serait-il du même acabit ? Cette fois ci, il n'y eut pas de salutations, à moins que se recevoir un mollard sur les pompes soit considéré comme tel. Chauffé par ce manque de respect, Dalmar se porta à l'attaque et asséna un puissant coup latéral au niveau du genou droit du Helmi. Dalmar s'attendait à ce qu'il évite, digne de la caste qu'il représentait. Mais rien n'y fit, le coup toucha le genou comme prévu, il y eut de multiples craquements et Conrad se vautra comme une merde en criant. Hors de combat. -Bah... t'es tout nul comme mec, tapette comme t'es, tu devrais faire fleuriste, s'étonna Dalmar. Aussitôt un brouhaha d'indignés se fit entendre et il n'eut pas à attendre longtemps avec que la garde ne vienne chercher le blessé, mais également, et à son grand étonnement, lui même. Il fut ensuite roué de coups par la garde, et à son réveil le bougre était dans une cellule.
Les Couloirs de l'Assemblée.
L'Assemblée a été convoquée sur demande de Varek Helmi, la tension est palpable depuis que ce-dernier est à l'origine d'un scandale éclatant. Il réclame la tête de celui qui a brisé la jambe de son fils. Pourtant nombre sont ceux qui ont perdu la vie durant ses joutes, sans que personne ne réclame la vie du combattant qui l'a assassiné. Mais la situation politique préoccupante dans laquelle les nobles sont empêtrés auront peut-être raison de leur honneur.
Seigneur Bemott: Nous sommes aux bords de la révolte. L'expédition récente cache en réalité un fiasco. Les soldats ont été accueilli en héros et ont ramené quelques trésors mais c'est de la poudre aux yeux. Le but premier: Kal Hirol et ses trésors n'ont même pas été effleurés. Résultat, plusieurs des familles qui ont financé l'expédition réclament qu'on leur rembourse leur investissement. Et les autres ne tarderont pas. Seigneur Ivo: Si ce n'est qu'une question d'argent, nous devrions bien trouver quelques coffres à leur filer, quitte à augmenter les taxes de la surface et les impôts. Seigneur Bemott: Il ne s'agit pas pas seulement d'argent, le roi a promis des fiefs à certains dashyrs, mais aucun thaig qu'on leur a promis n'a été à ce jour libéré, nous perdons des hommes sans jamais rien conquérir. Ces crétins ne voient pas que ce sont eux le problème, notre armée, menée par la famille Adamant, appuyée en sous-main par la Légion pourrait sans problème reprendre des thaigs et les tenir; mais ils nous paralysent dans leurs luttes intestines. Chacun utilise les nains à sa disposition pour défendre ses propres intérêts. Seigneur Ivo: Soit, mais les dashyrs ne se risqueront pas à entrer en révolte ouverte sous la seule foi d'un dashyr. Ils ne sont pas assez fou pour causer notre perte pur une cause si futile. Mon neveu a été vaincu durant son combat avec le même forgeron. Ma famille est assez pragmatique pour ne pas risquer de faire sombrer le royaume pour cela. Même si c'est humiliant. Seigneur Bemott: Vous peut-être Ivo, pas lui. Helmi, c'est le dashyr en forme en ce moment, son commerce de lyrium avec la surface prospère et il dispose de nombreuses lames à son service. Plus que les autres. Le problème c'est que son fils en se faisant ridiculiser ainsi, l'a ridiculisé lui. Sans compter qu'on connait ses problèmes de procréation, et son seul héritier mâle est amputé d'une jambe désormais. Non il ne laissera pas un tel affront impuni et s'il se révolte... par opportunisme ou crainte beaucoup de dashyrs le rallieront... Seigneur Ivo: Alors c'est ça ? Il va falloir sacrifier un pov' forgeron pour avoir l'espoir d'une paix ? Aussi fragile soit-elle ? Seigneur Bemott: C'est ça Ivo, pourtant nous savons tous les deux qu'ils trouveront un autre motif de contestation d'ici deux semaines et encore je me trouve optimiste, mais les engeances grondent et nous devons mettre toutes les chances de notre côté en ces temps troublés... Si le sacrifice d'un forgeron peut nous permettre d'avoir une armée unie lorsque les hurlocks toqueront à la porte, il faut tenter le coup.
Les prévisions des deux dashyrs se révélèrent payantes puisque qu'une délibération houleuse mais rapide eut lieu à l'Assemblée. Dalmar apprit le résultat par le geôlier qui lui apportait le repas. Le moins que l'on puisse dire c'est qu'il fut surpris. En réalité il était totalement pris au dépourvu, complètement paumé même. Chose cruelle pour un nain, il avait l'impression que le sol se dérobait sous ses pieds et le faisait sombrer dans un immense trou noir sans aucune paroi à laquelle se raccrocher. Car malheureusement pour lui, il ne connaissait personne pour le sortir de ce pétrin. Ses parents ne savaient pas où était leur fils aîné et étaient trop glands pour partir à sa recherche. Aucun noble n'allait prendre la défense d'un pauvre forgeron, et ne se risquerait pas à se mettre l'Assemblée à dos. Le lendemain, à l'aube, la grille de sa froide cellule s'ouvrit et Dalmar. Deux gardes le menèrent sans se presser à une porte massive où l'attendaient quelques nobles et membres du Façonnat. On lui octroya une parodie de cérémonie pour les archives. Les nains présents échangeaient des regards complices tandis que d'autres, plus intègres, affichaient une mine honteuse, conscients de l'injustice qui était en cours. Puis les portes s'ouvrirent sur un tunnel lugubre et sans fin.
Thaig de Dol Ekor
Après plusieurs semaines interminables de survie dans les Tréfonds, Dalmar trouva une rivière souterraine. Avec un peu de chance, elle débouchait sur le monde extérieur, ou bien sur un thaig abandonné. Beaucoup d thaigs devaient avoir une source d'eau proche à son. Ou peut-être qu'il rencontrerait des engeances avant d'avoir perçu le moindre rayon de soleil. La fortune lui sourit, après quelques heures de marche, il découvrit un petit thaig, abandonné depuis des lustres. Enfin pas si abandonné, en effet, au vu du petit conglomérat de cadavres, une escarmouche devait s'être déroulée. Il devait s'agir sûrement d'un groupe d'éclaireurs de l'armée, un peu trop imprudents qui s'était vue tomber sur le râble par des engeances isolées. Même si c'était mal, le premier réflexe de Dalmar fut de fouiller les cadavres. Par chance, il dénicha quelques provisions: idéal de pouvoir fêter son anniversaire sans bouffer de la cuisse de cochard. Il y trouva un ensemble en maille pas trop déglinguée ainsi qu'une épée longue. Il n'en était pas du tout expert, mais entre utiliser ça et devoir mettre un coup de boule à une araignée géante, il avait fait son choix. Après quelques errements il trouva une alcôve dans la roche où les nains avaient sûrement dû camper, car on pouvait y trouver des couchettes rudimentaires -même si ça lui suffisait pour dormir dans son cas- et un petit feu de camp dont il n'aurait aucun mal à faire repartir les flammes. Après un petit repas, frugal au regard de la situation et sombra lentement dans un sommeil chaud et confortable.
Mais ce répit ne dura quelques heures, jusqu'au moment où il entendit des pas. L'exilé resta tapi dans l'ombre, ne sachant s'il s'agissait d'engeances ou de nains. Un échange entre deux des silhouettes présentes le rassura et il se montra aux nains. Il s'agissait d'une petite patrouille de la Légion qui farfouillait dans l'ancien champ de bataille. Ils ne furent pas méfiants, peut-être avaient-ils été mis au courant de la possible présence d'un condamné à mort. Ils ne se montrèrent ni courtois, ni distants, et encore moins craintifs ou hautains. Pourquoi l'auraient-il été, ils étaient solides, ils étaient déjà morts, ils étaient solides comme la mort. Il échangea quelques temps avec eux et leur apprit qu'il savait se battre et forger. Même s'il avait été un novice, ils l'auraient pris, car ils ne crachent sur personne du moment que ça peut aider la Légion ; mais ça ne pouvait jouer qu'en sa faveur. On lui laissa quelques minutes pour prendre le maigre baluchon qu'il avait accumulé durant son exil et partit avec quelques hommes en direction de Bownammar tandis qu'un petit groupe partait en direction d'Orzammar avec un cadavre mutilé. Ils lui expliquèrent qu'avec ce mort méconnaissable, tout Orzammar le considérerait comme mort. Ainsi il servirait la Légion, au delà de la mort.
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PSEUDO ☩ JDB AGE ☩ 19 ans COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM ? ☩ Ça, fait des années que je cherche un forum Dragon Age FRÉQUENCE DE CONNEXION ? ☩ Régulièrement, souventCRÉDITS IMAGES ☩ Nicolas Auproux, Mathieu Derrien
Sujet: Re: Dalmar, le lyrium coule dans mes bu*nes. Ok c'est toujours vulgaire. Lun 27 Avr 2015 - 15:40
OH OH OH. J'suis sûre que je tiens l'alcool mieux que toi
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Sujet: Re: Dalmar, le lyrium coule dans mes bu*nes. Ok c'est toujours vulgaire. Lun 27 Avr 2015 - 16:16
Bienvenue big
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Sujet: Re: Dalmar, le lyrium coule dans mes bu*nes. Ok c'est toujours vulgaire. Sam 2 Mai 2015 - 15:26
Félicitation tu es validé(e) !
Très chouette fiche, très agréable à lire et bien écrite ! Dalmar promet d'être fun en jeu, j'ai hâte de voir ça ! Bienvenue parmi nous
Maintenant que ta fiche a été validée, le staff va se charger de te donner ta couleur et ton rang. Ton avatar sera recensé dans les plus bref délais dans le BOTTIN et ton personnage sera ajouté aux REGISTRES. Puisque nous ne somme pas à l'abri d'une erreur, merci de vérifier que ton personnage est bien recensé dans tous les sujets et possède la bonne couleur et le bon rang.
Pour toute question le staff est à ta disposition par mp ou sur la box si l'un de nous est connecté. On te souhaite un bon amusement sur le forum ! À très bientôt !
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Sujet: Re: Dalmar, le lyrium coule dans mes bu*nes. Ok c'est toujours vulgaire.
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