Sujet: Paiven :: le pouvoir des mots Ven 1 Mai 2015 - 18:13
Paiven
PRÉNOM ☩ Paiven AGE ☩ 24 ans RACE ☩ ElfePROVINCE DE NAISSANCE ☩ Il est né dans le bas-cloitre de Val Forêt à Orlaïs RAISON DE LA PRÉSENCE EN ORLAIS ☩ Anciennement au bas-cloitre de Val Forêt, il vit à présent au sein du clan dalatien des Varalasan MÉTIER/RÔLE ☩ Il est commerçant et gère les négociations avec les autres caravanes de passage comme personne RANG SOCIAL ? ☩ Il appartient désormais au peuple dalatien MAITRISE ☩ Il maîtrise plus ou moins ses deux dagues mais n'aime pas se battre : son vrai talent réside dans sa maîtrise de la rhétorique qui lui permet en général de se tirer des situations les plus délicates. Mais comme sa sœur a tendance à le lui rappeler, ce n'est pas en demandant gentiment à une engeance de ne pas nous tuer qu'elle nous laissera tranquille pour autant... ALLÉGEANCE ☩ Tout comme sa sœur il n'a prêté allégeance à personne mais reste totalement dévoué au clan qui l'a recueilli AFFINITÉS AVEC LES AUTRES RACES/FACTIONS ☩ Il se méfie grandement des shems, même si il aime beaucoup écouter les conversations des plus nobles d'entre eux pour perfectionner son propre langage : leurs discours sont pour lui une véritable source d'enseignement. Il ne se plaint cependant pas de ne plus en voir maintenant qu'il vit avec les dalatiens. Aussi étrange que cela puisse paraître, il éprouve une grande admiration envers les nains dû à leur sens du commerce aiguisé et leur caractère explosif qui l'amuse beaucoup. Mais aucun peuple n'a plus de crédits à ses yeux que les dalatiens qu'il a toujours rêvé de rejoindre. Désormais, c'est chose faite et il s'en réjouit chaque jour qu'il passe avec eux. PRINCIPAUX TRAITS DE CARACTÈRE ☩ Paiven est charmeur, impatient, excellent orateur et négociateur, menteur professionnel, maladroit avec tout ce qui touche au manuel, il possède un sens de l'humour assez particulier mais généralement apprécié et reconnu, il est très malin et particulièrement rancunier.
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Paiven rassembla les derniers arcs présentés sur son étalage et tenta avec difficulté de les empiler dans un gros coffre en bois. Il dut s'y reprendre à trois fois pour réussir à tout faire rentrer et, une fois le battant supérieur de la caisse refermé, il poussa un soupir de soulagement en s'y appuyant. Décidément, le rangement c'était pas sa tasse de thé. Le déballage non plus d'ailleurs. Ce qu'il préférait, c'était la partie vente, le moment où il devait attirer les caravanes vers son petit commerce, négocier avec les acheteurs potentiels, essayer par tous les moyens de tirer le meilleur prix des marchandises (en usant de la flatterie pour le hommes et de son charme avec les femmes), que ce soit celles qu'il vendait ou celles qu'il achetait. Bref, Paiven adorait son métier. En fait, il adorait sa vie en général depuis qu'il vivait parmi les Varalasan. Pourtant, les choses n'avaient pas toujours été aussi roses pour le jeune elfe !
Déjà, il était né dans un bas-cloitre. C'était le lot de beaucoup d'elfes, mais Paiven avait toujours été quelqu'un qui rêvait de liberté. Tout petit déjà, il se démarquait des autres elfes de son âge par son côté rêveur et sa soif d'apprendre, tandis que les autres passaient le plus clair de leur temps à se battre. Paiven, lui, fuyait les combats comme la peste. Malgré sa taille plutôt grande pour ceux de son espèce, il ne savait absolument pas se servir de ses poings ou de n'importe quelle autre arme. Du coup, pour ne pas risquer de se faire taper dessus, il utilisait la ruse afin de se mettre les petits caïds dans la poche en les faisant rire grâce à ses pitreries. Il avait toujours estimé s'en être très bien sortit et ce passage de sa vie lui avait fait comprendre l'importance, le pouvoir que pouvaient avoir les mots. Il se mit à écouter plus attentivement les gens parler, notamment les meilleurs vendeurs du bas cloitre. Rapidement, il s'était pris d'admiration face à leur faculté à embobiner les gens et avait appris d'eux simplement en les regardant faire. Petit à petit, il était devenu de plus en plus convaincant et s'étonnait à chaque fois de constater à quel point ses interlocuteurs pouvaient se laisser berner facilement : les enfants de son âge, les adultes, ses parents... Seule sa sœur parvenait à percer son petit manège et ne se laissait pas amadouer par ses bobards.
Paiven sortit de sa rêverie et chercha Panoriel du regard. Il la repéra un peu plus loin, dans un coin tranquille du camp à tirer à l'arc en prenant un tronc pour cible. Le jeune elfe sourit : sa grande sœur avait toujours été une source d'admiration pour lui. Jamais il n'avait vu quelqu'un de plus courageux et téméraire qu'elle. C'était grâce à elle qu'ils avaient tous les deux quitté Val Forêt à peine deux ans plus tôt. A l'époque, elle travaillait pour la mafia du bas cloitre et assumait également son éducation. Elle n'était pourtant pas beaucoup plus vieille que lui mais c'était elle qui avait endossé le rôle de mère, pendant que leur génitrice faisait Mythal savait quoi. Mais un jour, les choses avaient tourné au pugilat. Panoriel ne s'était pas étendue en explications : elle avait débarqué comme une furie dans sa chambre pendant la nuit en lui disant simplement qu'ils devaient quitter Val Forêt sur-le-champ sinon... elle n'avait pas dit ce qu'il se passerait s'ils restaient, mais Paiven avait tout de suite compris que ce ne serait pas beau à voir (ni à vivre). Ils s'étaient donc préparés rapidement des sacs de voyage, emportant le strict nécessaire, et avaient pris la fuite.
Le voyage fut long et particulièrement éprouvant pour Paiven. Il venait de mettre à la trappe tout ce qui avait constitué sa vie jusqu'ici et avait très peur. Mais en même temps, c'est à partir de ce moment qu'il se sentit réellement libre pour la première fois de sa vie. Pas un seul instant il n'avait perdu espoir : au fond de lui, il était persuadé que Mythal, la déesse que, tout comme les dalatiens, il vénérait, le guidait et les menait vers un endroit où ils seraient enfin en sécurité. Combien de nuits blanches avait-il passé à prier de toutes ses forces en entendant sa sœur pleurer dans son sommeil ? Il avait cessé de les compter. Probablement des centaines. Cette pensée lui serra le cœur. Il aurait voulu être plus fort pour Panoriel. Certes, elle était l'ainée. Mais lui était un adulte à présent, et il en allait de son devoir de protéger sa famille. Pour cela, il était même prêt à apprendre le maniement des armes, bien que pour le moment il s'en était tenu à l'étude de la forêt avec l'aide de l'archiviste du clan, Harand, (ce qui était déjà plus dans ses cordes) mais il avait bien l'intention d'étendre ses connaissances.
Il avait encore et toujours cette curiosité dévorante en lui qui le poussait à vouloir apprendre, étudier et comprendre tout ce qu'il se passait autour de lui. Et plus il passait de temps au sein des Varalasan, plus ce désir s'intensifiait : pour lui, tout connaitre du peuple qui l'avait recueilli était une façon de lui prouver sa reconnaissance et son implication au sein de la communauté. Il avait étudié leurs méthodes de commerces (qu'il s'était même permis d'améliorer avec ses propres connaissances en la matière), leurs coutumes, leur droit, leur religion et leur histoire. Plus il en savait, plus il avait le sentiment d'avoir toujours vécu parmi eux et mieux il se sentait.
Sa réflexion le mena à songer qu'ils avaient sacrifié énormément, sa sœur et lui, avant d'arriver là où ils en étaient, mais le voyage en avait valu la chandelle : il était toujours avec Panoriel et tous les deux avaient été accueillis à bras ouvert parmi le clan dalatien des Varalasan.
Paiven serra les poings. Des sacrifices. C'était le mot. Surtout pour sa sœur. L'elfe se passa un main sur le visage, tentant de ne plus penser à ce que Panoriel en était arrivée à faire pour qu'ils survivent tous les deux. L'idée que la personne qu'il aimait le plus au monde ait pu en arriver au point de... de vendre son corps lui était tout bonnement insupportable. Pourquoi avait-elle fait ça ? Pourquoi alors que lui pouvait embobiner n'importe qui et soutirer quelques pièces avec seulement quelques flatteries bien placées ?!
L'elfe secoua la tête. Non, il avait décidé d'oublier cet épisode de leurs vies. Cela n'avait fait que les éloigner et il ne voulait surtout pas se brouiller avec sa sœur. Il craignait déjà qu'elle ne décide de partir du clan, inutile de s'angoisser encore plus en ressassant le passé. Parce qu'il avait bien comprit, dès leur arrivée au clan, que Panoriel n'était pas aussi à l'aise avec les dalatiens que lui pouvait l'être. Déjà, elle ne partageait pas sa fascination pour leur culture. Et puis, elle n'avait jamais témoigné d'un attachement particulier pour leur nouveau foyer. Mais Paiven connaissait sa sœur aussi bien que lui-même : il savait au fond de lui qu'une part d'elle était heureuse d'avoir trouvé un endroit où ils pouvaient vivre tous les deux en sécurité. Elle était seulement trop fière pour l'avouer. Mais malgré cette conviction, le jeune elfe ne pouvait s'empêcher d'avoir des doutes lorsqu'il surprenait le regard de sa sœur devenir subitement triste sans qu'il ne sache réellement pourquoi.
Et si elle décidait de partir ? Que ferait-il, lui ? La suivrait-elle ou serait-il prêt à l'abandonner pour rester au sein du clan qu'il affectionnait tant ? Il n'en avait pas la moindre idée. Mais le simple fait de penser à laisser tomber sa sœur le rendait malade de culpabilité. Pourrait-il encore se regarder en face en sachant qu'il avait préféré son foyer d'adoption à ce qui lui restait de famille ? Probablement pas.
Ces questions lui donnèrent le tournis. Il devait se concentrer sur autre chose. A présent, ils devaient avancer, tous les deux. Paiven lança un nouveau regard sur l'ensemble du camp et son visage se détendit. Oui, désormais, il était ici chez lui. Il ne s'était jamais sentit aussi bien que parmi les dalatiens et n'avait pas l'intention d'abandonner cette vie. Il prit une grande inspiration et apperçut un peu plus loin la jolie Aerin. Un sourire espiègle se forma sur son visage : il était temps de jouer un petit tour à son ami Harand. D'un bond, il s'élança à la poursuite de la belle blonde en l'appelant joyeusement.
Oui, il était définitivement chez lui ici.
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PSEUDO ☩ lalelis, à votre service AGE ☩ 19 ans COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM ? ☩ en regardant les partenaires du forum Fort Fort Lointain FRÉQUENCE DE CONNEXION ? ☩ je suis connectée tous les jours en général, sauf en période de partiels CRÉDITS IMAGES ☩ silverwing
Sujet: Re: Paiven :: le pouvoir des mots Ven 1 Mai 2015 - 18:21
Bienvenue officiellement ! Bon courage pour ta fiche. J'ai hâte de lire ça !
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Sujet: Re: Paiven :: le pouvoir des mots Ven 1 Mai 2015 - 21:16
Bienvenue et bon courage pour ta fiche J'ai aimé ce que tu nous as fait jusque là **
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Sujet: Re: Paiven :: le pouvoir des mots Ven 1 Mai 2015 - 21:54
Warning:
BROOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO ! Officiellement bienvenue, contente de te voir parmi nous ! J'ai hâte de lire ta fiche Juste, pour le code de la fin (pour l'avatar), il faut bien le laisser sous forme de code, qu'on pourra ensuite copier-coller directement dans le bottin BON COURAGE
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Sujet: Re: Paiven :: le pouvoir des mots Ven 1 Mai 2015 - 22:50
PAIIIIVEN (avant que tu ne prennes peur, Aerin a rejoint le p'tit clan récemment ) mais woaw, Pan a déversé trop d'amùr j'peux pas rivaliser.
Bienvenue parmi nous ! Bon courage pour la suite, mais j'ai hâte d'en lire plus.
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Sujet: Re: Paiven :: le pouvoir des mots Ven 1 Mai 2015 - 23:59
HAAAAAAAAN TROP D'AMOUR ICI !!!
Harand : Merci beaucoup !!
Drathir : Merci ! Contente que le début te plaise, j'essaierai de ne pas te décevoir pour la suite !
Pan : MA SISTAH D'AMUUUUUR !!! Merciiii ! J'vais tout de suite rectifier ma bourde !
Aerin : WOOOOOOH TROP DE BEAUTÉ EN TOI Je sens que ça va plaire à Paiven de voir une aussi jolie elfe dans le clan Merci pour ton amour !
Sujet: Re: Paiven :: le pouvoir des mots Sam 2 Mai 2015 - 15:14
Nan mais si Paiven s'y met, j'ai plus aucune chance.
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Sujet: Re: Paiven :: le pouvoir des mots Sam 2 Mai 2015 - 15:14
C'est la dure loi de la vie
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Sujet: Re: Paiven :: le pouvoir des mots Sam 2 Mai 2015 - 20:31
Attention Harand, il a de l'humour le p'tit... et il est chou ! J'te ferai des câlins Paiven
(Mais je ne vais plus savoir où donner de la tête à force )
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Sujet: Re: Paiven :: le pouvoir des mots Sam 2 Mai 2015 - 20:40
(va chez Sohane )
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Sujet: Re: Paiven :: le pouvoir des mots Sam 2 Mai 2015 - 20:47
Merci Daera !! Promis je serai sage et j'écouterai mon archiviste Mais si nos chemins viennent à se croiser, je ne promets pas de rester aussi devant une aussi charmante damoiselle
Harand, si tu veux je te donnerai des conseils de drague (parce que j'suis comme ça moi, j'aime aider mes amis... )
Pan, t'es trop une sister géniale
Aerin, j'accepterai tes câlins... EN TOUT BIEN TOUT HONNEUR HARAND, T'EXCITE PAS !