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Fenrir était allé à la forêt de Tirashan pour trouver un peu de solitude et qu'il avait envie de voir un peu cette fameuse forêt qui terrifie les bas terriens. Il arriva en ce après avoir terminé un contrat pour une caravane marchande de Val royaux. Il devait les escortes à la forteresse des gardes des ombres d'Orlais qui était situé à Churneau. Puis une fois que le voyage fut terminé, il alla en direction de la forêt des Dalatiens. L'alvar marcha à une bonne allure et atteignit les premiers arbres de Tirashan au bout de la troisième semaine de marche.

Il aimait bien tout ce qui touchait à la nature, il alla dans les bois tranquillement sans se douter qu'il pourrait mourir à tout moment par des dalatiens ou par des créatures mortelles. Le géant avait son faucon avec lui. Celui-ci était un faucon des montagnes que l'alvar avait trouvé blessé dans les montagnes de givres. Il dit à son rapace qu'il pouvait voler librement. L'oiseau s'envola pour aller dans la cime des arbres. Fenrir s'adossa à l'un des troncs et commença à dormir. Il repensa à ses plus belles années qu'il a vécues parmi les siens, à sa famille. Des larmes apparus sur son visage. Il ouvrit les yeux et se releva. Il essuya son visage et il dit pour lui-même

« C'était de magnifiques moments, mais maintenant je dois avancer et tracé un nouveau chemin. »

Après avoir dit ses paroles dans le vide, il entendit son rapace crier au loin. Le géant alla le plus vite possible dans cette direction. Quand il vit une petite clairière. Il arrêta sa course et s'approcha discrètement à travers les buissons. Il vit une jeune elfe en train de danser avec son faucon sur son épaule. Le géant alla siffler, mais il hésita à interrompre la beauté de cette danse. Il regarda mieux l'elfe. C'était une jeune femme à la chevelure blanche. Elle portait un voile et il ne pouvait pas voir son visage, mais son corps était fin et ses jambes était fini mais musclé. Il resta là pendant un certain temps. Puis il se leva et alla sortir dans son pied se prend dans une racine. Il trébucha et roula sur le sol. Il cria des jurons dans sa langue alvar, se releva et s'aperçoit que l'elfe le regardait. Fenrir enleva la poussière et dit :

« Excusez-moi de vous avoir interrompus, mais vous vous appelez comment et que faite-vous dans cette forêt ? »

Puis il siffla pour dire à son faucon de revenir vers lui. Celui-ci se posa sur l'une des épaules de son maître et regarda la danseuse.