NOM ☩ Aucun PRÉNOM ☩ Ezio AGE ☩ 34 ans RACE ☩ Humain PROVINCE DE NAISSANCE ☩ Inconnue (Elevé dans un orphelinat à Bastion, en Antiva) RAISON DE LA PRÉSENCE EN ORLAIS ☩ Raisons professionnelles MÉTIER/RÔLE ☩ Maître assassin RANG SOCIAL ? ☩ Etant orphelin, Il n'a aucune connaissance du rang social de ses géniteurs et donc, est affilié au petit peuple MAITRISE ☩ Fort d'un entraînement rigoureux procuré par les Corbeaux, Ezio a appris à transformer son corps en une arme d'une efficacité mortelle. En effet, outre une condition physique exemplaire lui permettant de se mouvoir dans les ombres et de faire preuve d'une agilité presque féline, l'assassin manie les dagues (autant de lancer que de combat) et son épée longue, Jézabel, comme personne. Son maniement de l'arc est bon sans être franchement exceptionnel. Les divers gadgets qu'il affectionne tout particulièrement tels que les bombes fumigènes ou encore des dagues à corde sont là pour le sortir de nombreuses situations délicates. Pour couronner le tout, celui-ci est devenu un fin connaisseur des poisons le plus en vogue, offrant délires, souffrance extrême, trépas soudain et j'en passe à ses cibles. Tout cela est déjà impressionnant? Vous serez alors surpris d'apprendre que, non content de toutes les aptitudes que lui ont conférés les enseignements des assassins, celui-ci s'est également intéressé à l'art du déguisement ou, comme il l'aime le dire: " L'Art d'être quelqu'un d'autre". Plus associé aux célèbres bardes d'Orlaïs (Dont il essaye de s'inspirer en nourrissant le désir fou de les égaler), Ezio s'est néanmoins mis en tête de développer celui-ci, considérant cela comme un joker tout comme son entraînement au crochetage. Deux atouts qui ne sont encore qu'à leurs balbutiements. ALLÉGEANCE ☩ Lui-même puis les Corbeaux AFFINITÉS AVEC LES AUTRES RACES/FACTIONS ☩ Il ne nourrit aucune haine envers les autres races, appréciant au contraire le brassage des cultures pour la richesse que cela apporte même si l'hermétisme et la haine des Dalatiens ainsi que l'isolationnisme des nains le désolent au plus haut point. Pour ce qui est de la Chantrie, il n'a aucun jugement envers le message qu'elle transmet, trouvant que chacun est libre de croire ou de ne pas croire en quelque chose. Néanmoins, la mise en pratique de certains de leurs propos (comme la condition des mages) est, pour lui, foncièrement mauvaise. Et pour ce qui est des gens en général, Ezio aime apprendre à connaître les personnes en profondeur, faire tomber les masques avant de prononcer un jugement... On ne sait jamais quand un loup est déguisé en agneau... PRINCIPAUX TRAITS DE CARACTÈRE ☩ Extraverti, séducteur, égoïste, manipulateur, ingénieux, arrogant, espiègle, directe, exigeant, dangereux, pragmatique, casse-cou, calculateur, bon vivant, joueur, railleur, désinvolte, curieux, baratineur, accorde difficilement sa confiance
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Notre histoire commence il y a 34 ans de cela, alors qu'un humble pêcheur empruntait son chemin habituel pour rejoindre sa barque (tout aussi humble d'ailleurs) qui mouillait dans le sable fin, à l'extérieur des remparts de Bastion, la cité antivane. Grande fût sa surprise lorsque sa première prise s'offrit à lui sous le visage d'un nourrisson détrempé et entouré par des vestiges de ce qui semblait être un imposant navire et orlésien de plus vu le drapeau déchiré qui flottait encore au bout de ce qui semblait être le grand mât. Surement victime d'une attaque de pirate ou autres joyeuseté du genre vu la calcification de certaines pièces, l'homme ne comprenait pas par quel miracle l'enfant avait pu survivre à pareil désastre et finir devant lui. C'est pourquoi, après une prière pour remercier le Créateur de sa miséricorde, il s'empressa d'enlever les tissus imbibés d'eau au naufragé pour les remplacer par sa propre eau, préférant endurer la morsure du froid matinal que d'assister à la mort de ce miraculé par son égoïsme et encourir la fureur du Créateur. Et les voilà partit vers la vile forteresse qui s'éveillait peu à peu alors que le soleil commençait à pointer le bout de son nez au-dessus des imposants remparts...
Le pêcheur, conscient que sa maigre pitance ne permettrait pas de recueillir cet enfant, le confia à l'orphelinat de la ville, priant pour que le destin lui offre un avenir radieux. Les gérants de l'établissement le nommèrent Ezio et, bien vite, il s'attira les faveurs du personnel qui craquait littéralement devant ce petit naufragé. Il y passa cinq ans dans la joie et l'amour malgré les quelques bêtises qu'il pouvait faire et dont il s'amusait...
Comme il est de notoriété publique dans le pays, les Corbeaux d'Antiva, une guilde d'assassin réputée aux quatre coins de Thédas, opéraient leurs recrutements dans les différents orphelinats et parmi les jeunes mendiants, offrant la chance d'une vie, certes d'assassin, mais surtout meilleure pour ces laissés pour compte. C'est ainsi qu'un représentant de la guilde se présenta à Bastion pour passer en revue les enfants à la recherche de recrues potentielles. Le jeune Ezio attira bien rapidement l'oeil du recruteur. En effet, le petit, malgré son âge, semblait démontrer une certaine perspicacité en plus de se mouvoir bien plus agilement que bons nombres de ses semblables auxquels il avait fait passer les petits tests de sélection. De plus, en questionna le personnel, il apprit que le garçon avait réussi à parler et à marcher bien plus tôt que les autres ce qui ne l'étonna guère et ne fit que confirmer le potentiel de celui-ci: les Corbeaux venaient d'ouvrir leurs portes au petit miraculé.
Les années qui suivirent furent à la fois intenses de par les entraînements impitoyables et mortels de la guilde et riches par les rencontres et les choses qu'il apprenait là-bas. Ezio se démarqua très vite de ses compères par son habileté dans les différents domaines que se devaient d'apprendre les futurs assassins mais aussi par son tempérament farceur et indépendant qui lui valut de sévères punitions qui, à l'étonnement de tous, furent exécutées sans broncher de la part de l'élève turbulent. De nombreux apprentis l'appréciaient grâce à son extraversion et, bien vite, un groupe se constitua autour de lui, rassemblant amis loyaux et conquêtes. Groupe qui se retrouva bien souvent complice de ses "farces" et autres combines. Malgré son tempérament indépendantiste, les Corbeaux le gardèrent, voyant le potentiel remarquable du jeune homme et son implication dans son entraînement malgré les à-côtés parasitant encore son apprentissage...
Comme il est de coutume dans l'organisation, chaque apprenti finit par se voir affecté un maître pour le plus gros de sa formation et ce, jusqu'à sa fin. C'est ainsi qu'un Elfe citadin du nom de Fanil se chargea de sa formation. L'assassin était connu pour sa rigueur et ce n'était pas par hasard qu'il prit en charge l'orphelin un peu trop rebelle. L'organisation espérait ainsi effacer les défauts de l'arme prodigieuse que représentait le jeune garçon. C'est ainsi que les deux tempéraments se confrontèrent au fil de l'apprentissage du jeune homme, offrant de belles scènes comiques pour l'un et de sévères punitions pour l'autre. Toutefois, cette dualité forgea un lien fort entre ces personnalités opposées qui, malgré leurs différences, finirent par s'apprécier, rendant la formation d'autant plus simple d'ailleurs.
Néanmoins, son caractère lui valut quelques années d'entraînements supplémentaires afin de calmer ses ardeurs un peu trop débordantes pour les Corbeaux. C'est ainsi qu'il devint un véritable assassin à l'âge de 22 ans (ce qui est déjà assez jeune par rapport à la moyenne) et entama enfin la partie la plus importante de sa vie.
"Au moins, je t'aurai appris à te tenir devant les bonnes personnes et à éviter d'être un Corbeau trop dissipé et donc, mort...", déclara Fanil lorsqu'il annonça la fin de son apprentissage à son apprenti.
Les années qui suivirent construisirent la réputation d'Ezio au sein de toutes les couches sociales de Thédas. Ses services étaient appréciés et nombre de contrats importants reçus par les Corbeaux lui fut attribué. En plus de cela, de nombreux commanditaires, non content de débourser une fortune pour la mort d'une tierce personne, se permettaient d'inclure un petit "bonus" prenant la forme de femmes, d'espèces sonnantes et trébuchantes, de babioles de valeur et j'en passe et des meilleurs. Tout ça pour dire que la vie était belle et prospère pour le jeune maître assassin et ce, pendant de nombreuses années.
Mais un évènement vînt perturber le train train quotidien de l'orphelin et prit l'apparence d'une jeune Dalatienne...
Il était âgé de 30 ans à l'époque et avait parcouru de long en large le monde connu, sa réputation l'accompagnant à chacun de ses pas. C'est alors qu'un contrat lui fut transmis, un contrat ô combien particulier d'ailleurs. En effet, un noble mineur d'Orlaïs faisait appel aux corbeaux afin de régler le compte d'un archiviste dalatien dont la haine envers les humains était telle qu'il n'hésitait pas à organiser des razzias sur les terres du seigneur voisin, pillant fermes et marchands sans vergogne. C'était la première fois qu'on le chargeait d'assassiner le chef d'un clan. Il avait déjà dû s'en prendre à quelques elfes par le passé mais jamais un Archiviste! Et qui dit Archiviste dit mage confirmé et donc, personne dangereuse. Néanmoins, le boulot était très bien payé et, n'étant pas de nature à refuser un job aussi rémunéré, il accepta et parti pour le fief du nobliau....
Le clan était certes petit mais ses membres étaient expérimentés et leurs assauts étaient rapides et implacables, ne laissant que la ruine derrière eux. De plus, il avait tendance à capturer les marchands et certains villageois en échange de rançons. Ce ne fut donc pas surprenant de voir un énième commerçant tombé dans l'une de leurs embuscades malgré les quatre mercenaires engagés pour le protéger. L'homme, dont l'accent antivan trahissait ses origines, transportait de nombreuses babioles de valeur qui trahissaient l'opulence du prisonnier qui avait pourtant pris soin de ne porter que d'humbles vêtements de voyage. La rançon allait être grandiose et l'Archiviste le savait très bien. C'est ainsi qu'on le soumit à un violent interrogatoire où il déclarât se nommer Lorenzo Giandi et détenir une boutique à Bastion. Il ajouta même que sa famille serait prête à payer son poids en or ou en tout ce qu'il souhaitait en échange de son retour avant qu'il ne se mette à supplier pour sa vie, le visage tuméfié où le sang se mêlait à ses sanglots. Les elfes en savaient désormais assez et le jetèrent dans une cage sous la surveillance d'une jeune chasseresse du nom de Siris. Seulement âgée de 23 ans, venait tout juste d'accomplir son rite de passage pour devenir une vraie chasseresse mais, malgré tout, il semblait que le clan ne lui faisait pas encore assez confiance pour lui permettre d'accomplir ses fonctions, l'Archiviste la cantonnant au camp sous prétexte que son esprit était beaucoup trop tumultueux pour l'envoyer chasser avec les autres. C'est ainsi qu'elle s'était retrouvée à se coltiner la garde du prisonnier depuis son arrivée chez eux pour son plus grand plaisir...
La nuit s'annonçait très fraîche parmi les arbres et les Elfe avaient donc permis à l'humain, jugé trop précieux pour mourir, de garder ses vêtements après fouille ainsi qu'un pendentif à la valeur sentimentale après moult suppliques et pleurs de sa part. C'est ainsi qu'elle monta la garde devant la cage rudimentaire où Lorenzo était recroquevillé, sanglotant et baragouinant des prières au Créateur avant de finir par s'endormir au bout d'une attente interminable de la part de sa gardienne. La nuit était bien avancée et le silence à peine perturbé par le bruit de la faune engourdit les sens de Siris qui se surprit à s'affaisser contre un tronc proche, la cage bien en vue et de fermer les yeux....
Des cris de panique et des appels à l'aide en dalatien l'éveillèrent en sursaut. Les alentours étaient illuminés de pleins fouets, comme si un immense feu de joie avait été allumé sauf que le feu prenait sa source de l'aravel personnel de l'archiviste. Sa première réaction fut, après avoir récupéré son arc, de regarder après le prisonnier qui, à sa grande surprise, était aux abonnés absents. Ses compatriotes s'activaient autour du feu commençait à se répandre sur les aravels adjacents ainsi qu'aux arbres et fournitures présentes. L'apprentie de l'archiviste tentait tant bien que mal d'atteindre son maître mais une poutre de sa demeure tomba sur elle avec un craquement sinistre. C'était le chaos et elle en était la responsable. C'est ainsi qu'elle courut rejoindre les siens pour sauver ce qui pouvait encore l'être.... L'erreur n'était pas qu'humaine après tout....
Alors que les cendre du tombeau de leur guide fumait encore, du côté de la demeure du nobliau, Ezio pansait ses nombreux bleus et blessures sous les frais de son commanditaire. le plan avait été ingénieux et la jeunesse de sa gardienne n'avait été qu'une heureuse providence. Sinon, il aurait été contraint de la tuer avec la minuscule aiguille empoisonnée que renfermait son pendentif... Du gâchis pour un poison d'aussi bonne qualité. Le seigneur avait été tellement ravis qu'il pouvait séjourner en ses murs jusqu'à son rétablissement complet et ce n'était pas plus mal car la chère y était bonne et les servantes jolies et peu farouches.
Mais tel ne fut pas sa surprise lorsque, le surlendemain, alors qu'il prenait un bon bain chaud de minuit, une jolie servante elfe pointa le bout de son nez pour, non pas réchauffer son eau mais placer un couteau sous sa gorge. Personne ne l'avait eu par surprise de cette manière depuis bien longtemps, ravivant des sentiments qu'il avait oubliés comme l'excitation du danger et la peur de la mort. De plus, l'autre surprise fut que cette femme n'était autre que sa gardienne, Siris. Folle de rage, elle lui expliqua ce qu'il avait fait, les morts, les blessés, les dégâts et son exil pour son erreur. Ezio la comprenait parfaitement mais il ne se laisserait pas mourir ainsi car, ce qu'elle ne savait pas, c'est qu'il était un assassin et pas de pacotille et la colère provoquent bien souvent des erreurs... C'est ainsi que la situation s'inversa et que l'assassin se retrouva nu et mouillé certes mais le couteau de l'Elfe dans sa main et bloqué contre sa gorge à elle désormais. Il l'avait à sa merci comme ses précédentes proies mais quelque chose le bloquait dans son acte, comme si tous ses sens lui disaient de la garder en vie pour une raison encore méconnue. Il avait fait une erreur et avait failli en payer le prix... de plus, il lui avait tout pris et elle se retrouvait orpheline par sa faute. Ce n'était pas la première fois que ses actes causaient de tel ravage mais, ici, c'était différent: elle devait vivre et partir avec lui.
Une pensée bien étrange et un peu folle en pareil moment n'est-ce pas? Pourtant, elle s'imposa bien vite comme une évidence... Le destin peut-être? Toujours est-il que les heures qui suivirent furent d'une grande violence. En effet, la suite s'enchaina par des joutes verbales bien fleuries interrompues par des pugilats ou encore des combats au couteau ou avec tout ce qui leur passait sous la main, transformant la chambre en un vrai capharnaüm pour que, finalement, l'Elfe capitule et accepte son indécente proposition avant de tomber d'épuisement dans ses bras.
Après cet évènement insolite, les deux comparses ne se quittèrent plus. Siris logea avec lui dans une maison à Antiva et s'occupait de celle-ci en son absence, découvrant le monde extérieur d'un oeil nouveau, loin des discours empreints de haine des Dalatiens. Les débuts furent difficiles de par leur vision des choses totalement opposée et leur tempérament mais, au fil du temps, le gouffre entre eux disparu pour laisser place à un amour aussi passionnel qu'imprévu. Ezio ne la présenta jamais aux siens même s'il savait que rien n'échappait aux Corbeaux et il continua sa vie d'assassin, accomplissant des contrats en compagnie de divers apprentis se succédant sans cesse à cause du caractère difficile et de l'exigence de leur maître. Rien ne l'empêcha non plus de profiter de la vie comme toujours, enchainant les conquêtes et autres joyeusetés qu'offrait le monde malgré les violentes disputes que cela pouvait engendrer si cela s'ébruitait... Mais, au final, il se réconciliait toujours dans le lit nuptial....
Tout se passait relativement pour le mieux jusqu'à ce qu'Ezio ne retrouve Rufio, son apprenti du moment et le plus compétent, mort, égorgé, dans la demeure qu'il partageait avec Siris. D'elle, nulle trace et ses maigres affaires avaient disparu toutes comme une partie de la nourriture. Il venait de tomber de haut et sa vie s'écroulait en un instant devant lui. Aucune lettre, aucun motif apparents quant à cet acte aussi violent que soudain. Aux yeux de l'Elfe, Rufio n'était qu'un simple ami sans prétention du couple... La situation était des plus délicates et il savait pertinemment comment cela allait devoir se finir: Il devait retrouver Siris....
Behind the screen
PSEUDO ☩ GoarzZ AGE ☩ 19 ans COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM ? ☩ Les joies de la recherche google après ma deuxième partie de DAI FRÉQUENCE DE CONNEXION ? ☩ Assez fréquent (Presque tous les jours techniquement) CRÉDITS IMAGES ☩ Visenya
Bienvenu à vous! Que votre fiche soit à la hauteur de mes attentes, liées au personnage que vous êtes. Une fois finie, j'espère que nous pourrions nous entretenir, le plus naturellement possible, comme le font tout les commanditaires avec leurs employés.
Salut, salut. C’est encore moi ! Alors, avant de te valider, je voudrais te demander d’opérer quelques petits changements : déjà, il faudrait te relire, il y a de vilaines fautes un peu partout dans le texte et des tournures de phrases un peu étranges. Un bon coup de correcteur devrait arranger ça. Ensuite, il faudrait modérer les compétences d’Ezio : à le lire écrit comme ça, il excelle dans tout, hors, on aimerait éviter les grosbills aux millle talents. De préférence, les Corbeaux se spécialisent dans ou un deux méthodes de meurtres et ne maîtrisent pas une grande panoplie d’armes à la perfection ; là encore une ou deux. Ca n’empêche pas qu’ils savent probablement en utiliser d’autres (encore que), mais ils ne peuvent pas être aussi doués. Aussi, impossible d’imaginer que les Bardes partagent leur savoir comme ça, de même que les Corbeaux protègent farouchement leurs techniques et méthodes. Tu parles de farces dans ta préfiche, et d’insubordination dans ta fiche, ce sont des choses radicalement différentes, et s’il se montre indiscipliné, les Corbeaux ne l’auraient pas toléré, même s’il a du potentiel. Les Corbeaux ont besoin d’une armée soumise et obéissante, ils tuent dès l’enfance la moindre envie de se rebeller et forgent des armes vivantes. Je les imagine mal garder un gamin turbulent dans leur rang, et encore moins rebelle / :. Inimaginable de voir cinq maitres corbeaux se succéder pour lui enseigner : ou il plie, ou il se fait tuer. Un corbeau ne peut pas refuser un contrat qu’on lui soumet. Ou il réussit, ou il meurt. C’est la Maison des Corbeaux qui reçoit les demandes et qui les donnes ensuite à ses soldats.
Je vais te demander de voir tout cela, malheureusement, avant de te valider. N'hésite pas à me MP si tu as des questions.
Voilà, voilà! Désolé encore car l'attente s'est faite plus longue que je l'escomptais :/ Je compte corriger d'ici demain soir ou après-demain au plus tard :D Désolé :S
Me revoilà. J'ai tout relu, concernant l’entraînement, ça me convient comme c'est, s'il n'en fait pas trop. Par contre, je trouve que c'est toujours un peu trop pour ses compétences : il peut avoir une maitrise de tout ce que tu mentionnes, mais il faudrait encore le relativiser. Le combat avec des dagues et une épée, par exemple, n'exige pas les mêmes compétences et les mêmes réflexes, de même que l'arc ou l'arbalète. Et puis ça, plus les bombes, le poison, le déguisement, ça fait vraiment trop. Uther va passer par ici pour donner son avis, malgré tout (:
Alors je rejoins Sohane du point de vu où ton personnage n'est pas un vétéran, mais n'est pas un débutant non plus. Que maîtrise à la perfection (voir presque perfection) une ou deux compétences offensives ça passe et ça s'explique étant donné que tu as été formé par la confrérie des corbeaux.
Le truc c'est qu'Uther à aussi été formé par une académie, mais il reste pourtant nul à la dague et l'arc, n'hésites pas à donner des faiblesses à ton personnages, des points moins fort. Car si au final on pense mieux jouer avec tout à fond, c'est souvent une plus grande expérience si notre personnage connait des lacunes dans l'apprentissage d'une arme ou deux.
C'est nickel comme ça ! Un dernier détail : pour que je puisse ajouter ton avatar au bottin, il faudrait que tu complètes correctement le code en bas de ta fiche Bon jeu Maintenant que ta fiche a été validée, le staff va se charger de te donner ta couleur et ton rang. Ton avatar sera recensé dans les plus bref délais dans le BOTTIN et ton personnage sera ajouté aux REGISTRES. Puisque nous ne somme pas à l'abri d'une erreur, merci de vérifier que ton personnage est bien recensé dans tous les sujets et possède la bonne couleur et le bon rang.
Pour toute question le staff est à ta disposition par mp ou sur la box si l'un de nous est connecté. On te souhaite un bon amusement sur le forum ! À très bientôt !
Bienvenue et félicitations, assassin ! Tu cherches du travail ? J'en ai pour toi. Et je paye bien. Que dirais-tu de travailler pour Tévinter ? Ce n'est pas si ingrat qu'on le prétend, mais cela demande une GRANDE discrétion.
Pourquoi je sens qu'Adamus va avoir la visite de Sohane qui va lui enseigner à coup de dagues empoisonnées qu'il ne faut essayer de débaucher les Corbeaux?
Mais ça pousse plus vite que des champignons, ces sales bêtes! 
