Sujet: Azénor - L'apostate Ven 19 Fév 2016 - 16:24
Prénom(s) Nom
NOM ☩ N/A PRÉNOM ☩ Azénor (Elise de son vraie prénom) AGE ☩ 26 ans RACE ☩ Humain PROVINCE DE NAISSANCE ☩ Orlaïs – Un village de paysans au sud de Montsimmard. RAISON DE LA PRÉSENCE EN ORLAIS ☩ Elle est traquée MÉTIER/RÔLE ☩ Mage apostat RANG SOCIAL ? ☩ Fugitive MAITRISE ☩ Magie et bâton ALLÉGEANCE ☩ Son allégeance ne va qu’à elle-même. AFFINITÉS AVEC LES AUTRES RACES/FACTIONS ☩ Elle se fiche bien de la race de chacun. PRINCIPAUX TRAITS DE CARACTÈRE ☩ Colérique, impulsive, ambitieuse, bornée, appliquée, engagée, sûr de soi, prudente, Emotive, excessive, stressée.
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Citation :
Mes pouvoirs ? C'est une bénédiction. Je fais des choses que la majorité des Humains ne peuvent faire, j'entrevois la possibilité d'être supérieur à tous ceux qui se prétendent "être noble". J'ai bataillée pour sortir de cette tour, je combats toujours pour rester libre en dehors de ces fanatiques en-plaqués dans leurs armures.
Ils nous enferment et nous enchaînent, nous sacrifient aux démons et ce sont nous les monstres ? Ils nous parquent comme du bétail, enfermée pour toute notre vie, nous permettant de sortir uniquement lorsqu'un problème important qu'ils ne peuvent résoudre seuls survient. Ce sont des lâches et ils méritent de payer pour cela.
Pourquoi est-ce que je suis aussi médisante et remontée contre la chantrie et ces gens-là dans la nature ? Parce qu'à cause d'eux j'ai passée une grande partie de ma vie actuelle, dans une prison dorée. Mes geôliers étaient envieux de nous couper la tête à chaque instant et parce que chaque jour, des mages meurt pour passer cette "confrontation". Mais cela ne choque personne, puisqu'il ne s'agit que d'un mage. Je compte bien créer l'inverse. La chantrie, le peuple, tous ceux qui ont peurs des mages, je leur donnerais une bonne raison de nous craindre.
- Azénor à un autre apostat.
Je m'appelle Elise, je suis née dans un petit village de fermiers au sud de Montsimmard. J'y étais bien, avec mes huit frères et sœurs, ont été plutôt une belle famille, chacun aidait au mieux de ses possibilités, moi je portais simplement l'eau à mon père et mes frères ou alors j'apportais les œufs de nos poules à notre mère, enfin, je n'étais jamais inutile. C'était bien, chacun avait un rôle et le soir on riait tous ensemble.
Mais la réalité est bien triste et fade. Cette réalité me fut imposée bien vite par la découverte de mes pouvoirs. Alors que j'allais chercher un saut vide en dehors de notre chaumière, mon grand-frère Aïden a décidé de passer son temps de repos à m'embêter.
Au début je trouvais ça drôle, je répondais même, mais lorsqu'il commença à se moquer de la façon dont je portais le saut et dont je marchais avec j'ai commencée à m'emporter. Après tout j'étais jeune, je n'avais que cinq ans et les enfants sont parfois imprévisibles.
J'ai lâché le saut et j'ai criéée contre lui. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire il a été paralysé et puis commença à délirer, ne pouvant bouger, mais criant et cherchant à fuir ce que je ne pouvais apercevoir. J'ai trouvée ça effrayant, mais tellement fascinant. Tout ceci n'était en aucun cas normal, ma famille l'a vite comprit et mon père partit avertir les Templiers pour venir me chercher.
Ils mirent un jour exactement avant d'arriver, pendant ce temps j'étais à côté de mon frère, le touchant à certains endroits où je pensais pouvoir contrôler ou même partager ses hallucinations. Ho, mes parents ne voulaient pas que je sois en liberté, mais que pouvaient-ils ? Ils avaient peurs eux aussi. Ils me surveillaient lorsque j'étais au chevet de mon frère immobile, je voyais bien leurs peurs et leurs craintes. J'éprouvais une obsession effrayante à vouloir comprendre ce que j'avais fait et même à chercher comment le faire et le maîtriser.
Je ne pu revoir mon frère en état de marche et sortit de ses cauchemars, les Templiers m'avaient emmenée bien avant pour qu'il ne soit pas trop effrayé de me voir lorsqu'il reprendrait ses esprits, mais de ce que j'ai pu comprendre, il en a gardé des séquelles du temps qu'il a passé dans son cauchemar éveillé.
Une fois à la tour, lorsque les portes se sont fermées derrière moi, je compris que j'étais prisonnière de cet endroit pour toute ma vie. A cette époque je n'avais pas encore l'envie d'être libre et j'étais encore moins en âge de savoir que je n'étais qu'une vie sacrifiable pour la bonne "sécurité" de la populace du monde.
Au fur et à mesure de mon apprentissage je compris rapidement par tous les cours que nous avions, la raison de ma présence ici parmi ces autres animaux qu'on appelait "mages du cercle". Un troupeau, des bêtes que les templiers massacreront au premier pas de travers. Plus je lisais et plus j'apprenais de choses qui me remontait. De quel droit ils pouvaient nous faire subir tout ceci ?! Pourtant, je n'avais pas encore découvert le terrible secret de la confrontation.
Dés que j'appris à lire je ne faisais plus que ça et lorsque les cours de sort appliqués commencèrent, j'avais tellement lu que je pouvais réciter par cœur les conseils de pratiques et les gestes à faire qui étaient détaillés dans le bouquin. Je voyais le regard des autres apprentis bluffait à chaque fois que je réussissais un sort bien avant eux. J'aimais ce regard stupéfait, aussi j'ai mis toute mon énergie à apprendre, m'entraîner, encore et encore. Je voulais briller ma capacité à apprendre et manier la magie, être parmi les grands du cercle pour représenter ceux qui ne voulaient plus de cette chantrie présente dans toutes les circonstances, à tous les étages, à toutes les heures.
J'ai passée ma confrontation à l'âge de 17 ans. J'étais fière face à ce premier enchanteur lâche et lèche bottes, mais aussi devant ce chevalier capitaine qui se sentait en maître de ma vie. M'envoyant dans l'immatérielle sans aucun scrupule affronter la volonté d'un démon. Drôle d'ailleurs, la chantrie pratique le sacrifice pour le bien du plus grand nombre, nos phylactères sont créées avec de la magie du sang, mais cela ne les dérange pas. Une bande d'hypocrites ! Tous autant qu'ils sont. Ils méritent tous de mourir pour s'être agenouillés devant ces monstres qui se font passer pour les sauveurs du monde.
Peu importe, je réussie haut la main ma confrontation, un démon de colère avait été mon adversaire. Qu'importe, le démon pensait m'avoir en me proposant plus de puissance, mais ce n'était pas la violence qui m'animait à cet instant. Je voulais changer les choses de l'intérieur.
Je me suis réveillée deux jours plus tard dans mon lit, à l'étage des mages confirmés. Cela faisait drôle je n'étais plus la petite apprentie impertinente, désormais je pouvais rejoindre une fraternité et participer à la vie politique du cercle. Chose que je m'empressa de faire. Dés que je le pus, j'approcha le mage de rang Sarus, je voulais me joindre à lui et lui faire comprendre que je voulais être une libertaire active et participer à toutes les réunions qui concernaient les fraternités.
Les choses changèrent rapidement lorsqu'ils voulurent apaisé Kilian, celui qui avait été mon maître de l'entropie. Celui avec qui j'étais proche et le seul qui maîtrisait cette magie à la perfection."C'est ça ! Vous n'avez que la violence à opposer à ceux qui osent l'ouvrir ?" Voilà ce je répondis à ce procès de mon ami et maître. Ils n'avaient aucune légitimité à le faire et leurs seuls arguments étaient les armes. j'étais remontée, mais les choses ont déparé. Lorsque Damien, l'un des apprentis de Kilian a utilisé la magie du sang, je lui ai crié qu'il ne fallait pas, mais en seule réponse je n'ai eu qu'une onde de choc me propulsant plus loin.
Lorsque j'ai vu de nouveau Damien, il n'était qu'une abomination difforme et horrible. Une mauvaise manipulation de la magie du sang, je pense qu'il faut savoir contrôler ses émotions dans l'utilisation de cette magie. Aussi, j'ai pris la décision de fuir, prendre ma liberté je savais que l'occasion ne se représenterai pas. Avec un groupe nous avons affronté les trois gardiens de la porte et nous avons foncé, Courant à travers la pluie et les champs. Seul le vent de la liberté nous ralentissait.
En sortant je vis le visage de cette jeune mage Dyllant. Je l'aurais bien amené, mais elle nous aurait ralentit, même si elle avait aidé quelques-uns de mes amis à s'échapper, elle n'aurait été qu'un boulet pour la lutte contre la tyrannie de la Chantrie. Alors, je suis partis en faisant semblant de ne pas l'avoir vu.
Nous avons passé une semaine à fuir cachés dans la forêt, trouvant parfois des maisons seules et en ruines. Des ruines justement, on en a trouvé beaucoup et à chaque nouvel abri qu'on fabriquait, les templiers nous rattrapaient. Rien ne semblait pouvoir les arrêter. Nous avons alors monté diverses embuscades pour mettre un terme à cette folie meurtrière qu'ils lançaient à notre encontre.
Mais malgré tous nos efforts rien ne se passait comme prévus. Les templiers nous tuaient tous un par un. Nous avons alors fui par deux, pour que cela soit plus compliqué pour eux de nous retrouver. C'est exactement à partir de ce moment que j'ai compris que les duos ne dureraient pas longtemps, l'un des deux apostats devait périr pour que l'autre brise son phylactère. Je ne serai en aucun cas sacrifié pour ce petit prétentieux avec qui j'étais partis. Ho non, il serait la victime des templiers et s'il pouvait presque se sacrifier pour moi je n'aurais pas dit non.
Je ne décrirais pas comment, mais j'ai réussie à faire en sorte qu'il soit entiché de moi. Et ce fut ce qui l'a perdu. Alors que nous nous préparions pour accueillir les deux templiers qui nous poursuivait, il a voulu montrer qu'il était un homme, imbécile...
Fonçant en premier il a d'abord combattu avec sa magie, juste avant qu'elle ne s'essouffle et qu'il commence à souffrir, les templiers usant des pouvoirs du phylactère pour le neutraliser. Pendant que celui qui possédait mon phylactère s'approchait de mon "compagnon" pour le faire taire à jamais, j'ai surgit frappant aussi fort que possible avec mon bâton sur le petit conteneur de verre où mon sang était retenu prisonnier comme je le fu, envoyant par la même le templier a terre.
Alors oui, j'aurais pu en profiter pour aider mon ami le prétentieux, mais non. Je n'ai rien fait et je suis partie en courant, fuyant à travers la forêt dans laquelle nous nous étions réfugiés tous les deux. J'étais désormais libre et un autre combat m'attendais, celui de garder cette liberté si chèrement payée et prier pour qu'un jour j'assiste au déclin de la chantrie et la destruction du cercle des mages.
Je voyage en Orlaïs à la recherche d'artefact, car la magie existait bien avant ma naissance et elle subsistera bien après ma mort, seulement, la mort-est-elle réellement inévitable ?...
- Carnet de voyage d'Azénor.
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PSEUDO ☩ Remy le furtif AGE ☩ 19 ans COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM ? ☩ Enchantment ! FRÉQUENCE DE CONNEXION ? ☩ Everyday ! (I’m drinking) CRÉDITS IMAGES ☩ What is past (Arté)
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Mademoiselle 
