☩ Trouver après une violente tempête dans les débris d'un navire orlésien échoué près de Bastion, il est rapidement emmené à l'orphelinat de la ville où il y passera cinq année avant d'être récupéré par les Corbeaux.
☩ Déménagement vers la capitale antivan où il subit un entrainement intensif afin de devenir un membre à part entière de l'organisation.  Le garçon fait preuve de grandes prouesses et s'avère être une recrue brillante mais maintes fois châtiée à cause de sa propension à échafauder des "farces" diverses et variées à ses compères ainsi qu'à ses maîtres qui se succédaient sans s'interruption grâce à l'aide de ses amis qui faisaient preuve d'une loyauté sans faille à son égards.  Evidemment, les châtiments étaient toujours rudes mais il les acceptait sans broncher.
☩ Malgré l'aisance avec laquelle le jeune homme progressait dans son apprentissage, les Corbeaux retardèrent son accession au titre de maître jusqu'à l'âge de 22 ans à cause de son tempérament rebelle qui, hélas, ne disparaîtrait pas.  A partir de là, Ezio s'engagea dans la partie la plus importante de la vie d'un Corbeau en entreprenant seul ses contrats.
☩ Au fil des années, Ezio se fit une importante réputation auprès de la noblesse de tout Thédas et de gens moins nobles également.  Son talent dans son "Art" était apprécié de tous et nombreux furent ceux qui rajoutèrent un petit "bonus" à son salaire.  Mais le plus important des présents se présenta à lui par hasard et sous les traits d'une jeune Dalatienne d'une hargne sans égale.  La rencontre de Siris se fit lors d'un contrat visant à réduire au silence un Archiviste dont la haine envers les humains était telle qu'il ne cessait d'organiser des razzias sur les champs et les caravanes du seigneur voisin.  C'est ainsi que l'assassin se fit capturer sous l'identité d'un humble marchand de babioles en tout genre.  Les évènements qui suivirent entrainèrent un incendie qui tua l'archiviste dans son sommeil, blessa de nombreux Elfes, causa d'importants dégâts matériels et estropia à vie l'apprentie de celui-ci qui avait tentée de sauver son maître des flammes voraces.  Du marchand il ne restait nul trace et Siris, dont le rôle avait été de surveiller le prisonnier, fut contrainte à l'exil pour manquement à son devoir.  Cela aurait pu se terminer ainsi mais, alors qu'Ezio se la coulait douce aux frais de son commanditaire, telle ne fut pas s surprise lorsque la servante sensée lui apporter un supplément d'eau chaude pour son bain porta plutôt un couteau à sa gorge.  La jeune Elfe venait de prendre par surprise l'assassin qui se surpris pour la première fois à avoir véritablement peur pour sa vie.  Néanmoins, il réussit par se tirer de cette situation qui s'inversa bien rapidement, le chasseur devenant le chassé.  Mais la jeune femme lui avait procuré un sentiment qui lui était devenu de plus en plus étranger alors que son être s'endurcissait au fil de son entraînement et de ses missions, la rendant unique à ses yeux.  C'est pourquoi il prit le pari fou de la convaincre de le suivre et de lui montrer le monde, le vrai et pas celui peint par ses semblables.  La conversation qui suivi fut virulente et, à de nombreuses reprises, fut interrompue par de brèves escarmouches au couteau, aux poings et à tout ce qui passait sous leurs mains mais Siris finit par déclarer forfait et, bon gré mal gré, le suivre.  Les  débuts furent difficiles  mais il l'amadoua et apprit à la connaître tout comme elle termina par s'adapter à ce nouveau monde tant haï par les siens et qui, au final, contenait quelques merveilles enfouies.  Ezio ne la présenta jamais à ses frères et soeurs même si il se doutait bien que la Dalatienne était connue d'eux à l'instant même où il avait posé le pied en Antiva.   Alors que le temps passait et que leur relation évoluait en un amour ardent où tout les opposaient,  elle  disparu en laissant derrière elle le cadavre du nouvel apprenti d'Ezio, un jeune homme du nom de Rufio. Encore une fois elle l'avait pris au dépourvu, le plaçant dans une situation délicate auprès de ses confrères qui lui indiquèrent la solution. Celle-ci était d'une simplicité enfantine mais également d'une complexité équivalente à un casse-tête nain:  Siris devait mourir.





☩ Maniement des dagues au corps-à corps- comme de lancer suite à l'entraînement des Corbeaux
☩ Entraînement d'assassin délivré par les Corbeaux
☩ Maniement de l'épée délivré par les Corbeaux
☩ Ambidextrie naturelle
☩ Bon maniement de l'arc grâce aux Corbeaux.  Toutefois, il n'est pas friand de cette arme et n'en porte qu'en de très rares occasions.
☩ Grand amateur de l'art du déguisement qu'il ne cesse de perfectionner de manière autodidacte.
☩ Adepte du crochetage de serrure qu'il perfectionne par lui-même



☩ Bonnes connaissances de la culture dalatienne