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  « Un père n’est pas celui qui donne la vie, ce serait trop facile, un père c’est celui qui donne l’amour. »

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Sohane
Sohane
guilde ∣ corbeau
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InfosRACE : ELFE.
AGE : TRENTE-ET-UN ANS
CONTRÉE D'ORIGINE : ANTIVA
LOCALISATION : ORLAÏS
ARME/MAGIE : Un sabre courbe dont la lame est à double tranchant, une multitude de dagues et de coutelas, à l'occasion une arbalète. Toutes ses lames et ses carreaux sont empoisonés.
MÉTIERS/OCCUPATION : Maitre Assassin chez les Corbeaux d'Antiva
HUMEUR : Mauvaise
COULEUR RP : #CC3333
CÉLÉBRITÉ : Mylène Jampanoï
MULTICOMPTES : /
PSEUDO : Sedna (Marion)
© crédits : Marleen
MESSAGES : 1761
INSCRIPTION : 26/08/2014
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MessageSujet: « Un père n’est pas celui qui donne la vie, ce serait trop facile, un père c’est celui qui donne l’amour. »  « Un père n’est pas celui qui donne la vie, ce serait trop facile, un père c’est celui qui donne l’amour. » EmptyMer 22 Avr 2015 - 0:57

✥ Date, mois, année Firstfall 5:11
✥ Lieu Val Royeaux, chez Friedriech
✥ Moment de la journée Fin de journée
✥ Autre /
« Un père n’est pas celui qui donne la vie, ce serait trop facile, un père c’est celui qui donne l’amour. »


Elle ne départage plus l'angoisse de la colère qui se mêlent en elle depuis des mois. Ca lui bousille les tripes, ça lui brûle dans la poitrine, cette envie de chialer qui reste bloquée au fond de la gorge et qui jamais ne part, cette impression d’étouffer à chaque instant et cette impossibilité de craquer. Elle ne pouvait pas craquer, elle ne savait pas. Et puis elle doit avancer, coûte que coûte, toujours. Ne jamais s'écrouler, car ce serait la fin, la fin de tout, la fin pour elle. Pourtant, c'est en elle à chaque instant, dans chaque regard, dans chaque geste, dans chaque mot, dans chaque silence. Et elle reste pantelante, incapable de comprendre et d'anticiper. Mais Sohane tient et avance, parce qu'elle ne peut pas se permettre de s'écrouler, pas maintenant, pas tout de suite. Alors elle fait avec ce monstre de sentiments inextricables qui vit en elle, qui se nourrissent d'elle et qui lui vole méthodiquement le peu qu'il lui reste. Elle serre les dents et elle endure. La solution s'est pourtant montrée à elle de façon évidente. Elle ne pourrait pas s'occuper de cet enfant, elle n'avait pas l'âme du mère. Au contraire, elle est tétanisée à l'idée de cette vie qui grandit en elle et dont elle doit prendre soin. Parce que cette vie, c'est aussi la sienne à présent, et que l'équilibre fragile qui les maintient en vie est si précaire, Sohane le sait. Elle n'a pas l'âme d'une mère, et pourtant… Elle envisageait la vie comme jamais auparavant elle n'avait eu le loisir de le faire. Elle n'a pas souvent le loisir de s'adonner à ses longues introspection et ce qui en découle la tétanise, aussi, ne préfère-t-elle pas y penser.

Non, elle se concentre sur la suite, l'immédiat. Sohane n'aime pas Val Royeaux. Trop grand, pleine de monde et de masques à chaque coin de rue, une odeur d’hypocrisie et des rumeurs des complots à chaque coin de rue. Elle n'y venait que rarement et jamais sans but ; le plus souvent un contrat qu'elle effectuait sur la journée avant de quitter la ville immédiatement. Elle guide sa monture pourtant, à travers le dédales des rues luxueuses et s'arrête devant la boutique, en tout point semblable au souvenir qu'elle en a. Depuis combien de temps n'est-elle pas venue ? Un an ? Plus ? Moins ? Trop longtemps en tout cas, mais pas assez pour que l'assistant de Friedrich ne l'oublie. Il se précipite hors de la boutique et découvrant son état, l'aide à descendre de sa monture et à avancer. Il ne dit rien, et garde un masque aussi décontracté que possible, mais Sohane ne peut lui en vouloir. A la place de n'importe qui d'autre, elle se moquerait de sa condition. Tout le monde, mais pas elle… « Je vais le chercher », dit-il en l'installant dans l'arrière boutique. Elle garde le silence, et attend. Friedrich s'était imposé à elle comme l'évidence-même. La seule personne en qui elle avait une confiance presque totale, ou du moins, assez pour lui confier la vie de cet enfant à venir, et son futur. Assez pour passer les derniers mois de grossesse auprès de lui. Puisque de toute façon, elle ne savait plus à rien pour la Maison actuellement et qu'il lui fallait prévoir, ne serait qu'un minimum la suite, autant passer ce temps auprès d'un ami.

Et quand enfin il apparaît, elle braque ses pupilles dans les siennes et le défend d'émettre le moindre commentaire. Elle ne pourrait, à cet instant, pas supporter une quelconque remarque ou moquerie. Parce que la digue en elle qui maintient son équilibre précaire est sur le point de céder. Alors elle reste égale à elle même, trop fière, droite et lui adresse un sourire sans joie. Nul besoin de mot pour décrire l'état de détresse dans lequel elle se trouve actuellement plongée. « J'ai besoin de ton aide, Friedrich » commence-t-elle sur un ton égal -et jamais encore n'avait-elle admis, à haute voix du moins, qu'elle pouvait avoir besoin d'aide. « Il sera à toi », poursuit-elle sans préambule et nul besoin de préciser le sujet « Quand ça arrivera, il sera à toi. Je ne veux pas en entendre parler, je ne veux rien savoir. Tu seras là, et c'est tout ce qui m'importe. ». Et c'est trop dur soudain, à contenir. Cette angoisse permanente, cette colère qui lui scie les entrailles et lui coupe le souffle, ces émotions qu'elle ne contrôle pas. Alors elle se retrouve là, sans aucun masque de fierté, pantelante, à espérer l'épaule d'un ami. Elle se tient, là, vulnérable comme jamais auparavant.
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https://chroniques-de-thedas.forumactif.org/t157-sohane-and-deat https://chroniques-de-thedas.forumactif.org/t236-sohane-and-all-i-am-is-a-bird-in-the-storm
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MessageSujet: Re: « Un père n’est pas celui qui donne la vie, ce serait trop facile, un père c’est celui qui donne l’amour. »  « Un père n’est pas celui qui donne la vie, ce serait trop facile, un père c’est celui qui donne l’amour. » EmptyMar 23 Juin 2015 - 3:07

Puisque le travail prendra plus de temps et de ressources qu’estimé… Non. Non, ça n’allait pas; pas assez diplomate, pas assez… Il chiffonna le parchemin et l’envoya valser plus loin dans la pièce. S’il souhaitait réellement tirer le plus d’or possible de cette vieille pie aux envies de luxe, il lui fallait trouver les bons mots. Non, mieux : les mots parfaits. Rien de moins ne suffirait à convaincre la femme qu’il lui fallait dépenser davantage pour obtenir le bijou convoité : une coiffure exubérante truffée d’éclats d’obsidienne et de diamants qui donnait envie de vomir en raison des reflets contrastants qu’ils émettaient. Peut-être qu’il faudrait qu’il invente que la cargaison d’obsidienne névarrane qu’il avait dû faire livrer spécialement pour elle avait été pillée par des bandits? Elle verrait à travers le mensonge, cette pie; elle avait des yeux partout. Il lui fallait être plus rusé qu’elle et que ses laquets… « Maître Friedrich », que son assistant l’interrompt. « Il y a quelqu’un pour vous. Je l’ai installée dans l’arrière-boutique. » L’orfèvre leva un regard mauvais sur son aide, mais réprima tout commentaire. Après tout, il ne faisait que son boulot, mais sa simplicité d’esprit avait tendance à parfois rendre le maître impatient et irritable au moindre son qu’il émettait.

Friedrich soupira et s’extirpa de sa chaise dans un grand bruit las. Il ne lui était même pas venu à l’esprit de demander qui était le mystérieux visiteur – sans doute un client distingué, comme d’habitude. L’arrière-boutique était non seulement munie de son atelier de forge, où il faisait fondre et maniait le métal à chaud, mais également d’un coin pour les visiteurs qui souhaitaient s’entretenir avec lui concernant des projets uniques. Ils prenaient généralement un rendez-vous, mais il ne pouvait pas se dire surpris : après tout, les riches de cette ville étaient reconnus pour faire ce qu’ils voulaient sans trop se soucier de ceux qui ne faisaient pas partie de leur élite.
Or, la silhouette qu’il vit en passant la porte, il aurait dû la reconnaître tout de suite – mais il lui fallut observer pendant un instant la femme, le visage impassible, comme le lui demandaient ses prunelles acérées. Et elle savait se faire comprendre d’un seul regard, Sohane, et il savait lire même dans ses plus embrumées œillades.

Il savait aussi l’écouter, et c’est pourquoi il ne dit mot, sans pour autant rester de marbre devant la demande somme toute surprenante de son interlocutrice. Si elle venait vers lui et si elle lui demandait de l’aide de façon aussi ouverte, c’était sans doute par désespoir – parce qu’elle ne savait plus à quelle port s’ancrer, sur quel pied danser avec son ventre bien rond qui laissait sous-entendre que ça viendrait bientôt. Elle se tut, et il observa un instant son ventre avant de poser son regard dans celui de son amie. « Il? T’es allée voir une sorcière? Ou c’est juste l’instinct qui prend le dessus? » Instinct maternel… il connaissait Sohane suffisamment pour savoir que c’était bien par manque de ce dernier qu’elle le suppliait de prendre en charge l’enfant. Il ne se formalisait pas de la requête. Après tout, peut-être était-il ce qu’elle avait de plus proche – ce qui ressemblait le plus à une famille.

Il avait cent questions, mille frustrations et encore plus de raisons pour simplement refuser – il n’était pas fait pour ça (mais Sohane l’était encore moins), son travail lui prenait du temps (celui de Sohane encore plus)… il n’était même pas le père, qui plus est! (mais sans doute serait-il la meilleure figure paternelle dont le marmot pourrait hériter au passage). S’il avait décidé de refuser cette lourde faveur à Sohane, il ne pouvait refuser au petit. « Tu sais ce que tu me demandes, là, Sohane? » Il avait prononcé son nom d’un ton plein de reproches – comme un père à son insouciante gamine, à la fois angoissé mais plein de tendresse. « Tu me demandes d’élever un gosse qui n’est même pas le mien sans même me demander mon avis, tu débarques chez moi comme si t’étais l’Impératrice et t’espères que je vais me jeter sur l’occasion de m’embarrasser d’un môme? » Si ses paroles sont peu doucereuses, son ton n’est pas méchant – juste… ahuri, comme s’il ne savait pas déjà que Sohane était une effrontée de première.

Malgré tout, rien ne laissait croire qu’il refusait la tâche qui lui incombait désormais, mais il n’allait certainement pas se mettre à pleurer de joie. S’il avait voulu un gamin, il en aurait fait un lui-même. Après tout, c’était largement plus agréable. Il lui proposa de s’asseoir sur une chaise droite sertie d’un coussin mordoré, faisant de même. Il chassa son assistant du revers de la main, ayant oublié qu’il se tenait toujours là. « Tu sais au moins il est de qui? »
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Sohane
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MessageSujet: Re: « Un père n’est pas celui qui donne la vie, ce serait trop facile, un père c’est celui qui donne l’amour. »  « Un père n’est pas celui qui donne la vie, ce serait trop facile, un père c’est celui qui donne l’amour. » EmptySam 25 Juil 2015 - 15:23

Il ne dit pas non. Il ne dit pas oui pour autant, mais il ne refuse pas et, quelque part au plus profond d'elle, Sohane remercie Friedriech d'avoir un jour croisé sa route, d'avoir su supporter son caractère intenable, d'avoir réussi à accepter ce qu'elle est sans jamais la juger. Alors bien sûr, il joue la carte de l'ironie mordante, bien sûr, il lui reproche son comportement, mais qu'importe. Il ne dit pas non et Sohane sent le nœud dans sa poitrine se faire moins serré. Elle n'apprécie pas le ton de Friedriech, mais la corbeau ne dit rien et se contente de l'observer froidement, de ses prunelles sombres. Sa mâchoire se serre peut-être un peu mais elle n'est pas dans une position où elle peut se montrer trop exigeante. C'est qu'elle n'en a pas la force, aussi, elle ne l'a plus. Elle est constamment épuisée, le bébé à venir lui suce son énergie plus sûrement que la maladie. Elle aurait dû se reposer plus tôt, bien sûr, elle n'aurait pas dû continuer à traverser Thédas comme elle l'avait fait, mais qu'y pouvait-elle ? Elle n'a pas de foyer et Perendale n'était sûrement pas une option à seulement envisager. Peut-être aurait-elle pu demander à son ami de venir chez lui bien plus tôt, et sûrement n'aurait-il pas refusé, mais la faiblesse de Sohane réside dans sa fierté. Jamais elle n'aurait pu demander de l’aide avant maintenant. Agacée, elle répond néanmoins « Il, elle, j'en sais foutrement rien, j'men fous ! C'est un bébé, c'est tout ! Peu m'importe de savoir s'il sera mâle ou femelle » Mais son ami n'en reste pas là, c'est qu'il entend lui faire comprendre l'importance de ce qu'elle exige de lui -comme si elle n'en avait pas déjà conscience, comme si elle n'avait pas retourné la question en boucle dans son esprit des jours durant, perdant même parfois le sommeil. « Je sais très bien ce que je te demande, et c'est bien pour ça que c'est toi que je suis venue trouver, répond-elle un peu trop sèchement, un peu blessée par la réaction de Friedriech. Elle le savait pourtant, qu'elle ne pouvait pas s'attendre à autre chose; et il prenait la chose relativement bien. Je te demande de ne pas faire de moi quelqu'un qui assassine son propre enfant. Si tu dis non, tu sais très bien que c'est ce qu'il se passera. Je lui trancherai la gorge pour lui éviter une vie misérable, une enfance terrible. Je lui trancherai la gorge pour que jamais il ne devienne comme moi. Je lui trancherai la gorge et ce sera la seule chose que je pourrais lui offrir, mais ça me tuera. Pas pour moitié, non, ça me tuera. Je te demande de sauver la part de moi qui est encore vivante. » Et ça sonne un peu comme un aveu, elle met enfin des mots sur les angoisses qui la rongent depuis des mois, depuis qu'elle sait qu'elle devra donner naissance à cet enfant. Tout avait changé, depuis la découverte de cette grossesse non désirée. Tout ce qu'il y a de sensible en quelqu'un, la Maison s'attache à le détruire jusqu'à ce que ça ne devienne rien qui n'entravera jamais la lame d'un Corbeau, il doit être capable de frapper n'importe qui, n'importe quand sans jamais s'encombrer de sentiments superflus ou inutiles. C'est souvent pour cette raison que les assassins antivans fondaient extrêmement rarement une famille, trop peu stable sentimentalement pour jamais s'impliquer sur la durée.

Elle s'assoit sur la chaise que lui montre son ami, ravie de soulager ses jambes et son dos malmenés par ce ventre bien trop rond et la longue chevauchée qui l'a menée jusqu'ici. L'assistant revient avant qu'elle ne puisse répondre à sa question et pose devant eux un plateau chargé de tasse de porcelaine travaillée et une théière fumante, avant de repartir aussi vite qu'il est entré. Le regard de Sohane se perd un bref instant dans la vapeur qui s'échappe du bec de la théière « Il pourrait être de toi. Je ne sais pas... » La légèreté des moeurs de Sohane n'est pas un secret pour eux, c'est d'ailleurs ce qui les a conduit à leur amitié et leur dernier rencontre ne rend pas l’idée impossible. « Il sera de toi. Je pourrais t'aider, si tu en as besoin, tu auras de l'argent si tu le veux, pour payer et loger la nourrice ou qui tu voudras pour s'en occuper. Mais je ne peux pas m'impliquer avec cet enfant... » Sa voix se brise. Jamais elle n'a été aussi proche du point de rupture. « Il n'y a qu'à toi que je peux le demander ». L'exiger aurait été plus exact mais bien moins subtile, si on considère Sohane capable de subtilité.
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